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"Plus on regarde de la téléréalité, moins on est bon à l'école
LE MARDI 4 FÉVRIER 2014 À 00:59 Par Matthieu Mondoloni
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Les animateurs de l'émission les Anges de la téléréalité 2. © Maxppp
Si on veut avoir de bons résultats scolaires en 3ème, il faut lire beaucoup et ne pas trop regarder les émissions de téléréalité. L'abus de celles-ci abaisserait les notes de 11% pour les mathématiques et de 16% pour les connaissances générales. C'est le résultat d'une étude sur les loisirs des adolescents commandée par le ministère de l'Education.
 
Oui, on sait, ce n'est pas le scoop de l'année : l'abus de téléréalité nuit aux résultats scolaires. Mais si ça va mieux en le disant, ça va encore mieux quand c'est prouvé scientifiquement. Donc oui, trop regarder des Ch'tits jouer les nouvelles stars à Koh Lanta ou des top-master chefs trouver l'amour dans le pré peut avoir un effet désastreux sur les bulletins scolaires.
 
C'est le résultat d'une étude réalisée par des chercheurs français, qui se sont appuyés sur des statistiques du ministère de l'Education. Sur le site des Cahiers pédagogiques, deux des auteurs s'expliquent : "C'est le visionnage très fréquent des programmes de téléréalité (et également des séries romantiques) qui a l'impact le plus négatif sur les performances cognitives et scolaires, de -11% pour les maths à -16% pour les connaissances", indiquent Alain Lieury, professeur émérite de psychologie cognitive à l'université Rennes II et Sonia Lorant, du laboratoire interuniversitaire des sciences de l'éducation et de la communication.
 
Moitié moins de mots employés dans la téléréalité que dans un livre
 
Pour arriver à ces conclusions, scientifiques rappelons-le, les chercheurs se sont penchés, en 2011, sur l'impact des loisirs de 27.000 collégiens de 3e sur leurs performances scolaires. Ils ont dressé un top 10 des activités préférées des adolescents. Regarder de la téléréalité est le loisir préféré de 42% d'entre eux, soit en sixième position derrière écouter de la musique, téléphoner, envoyer des SMS ou discuter sur Internet avec ses amis par exemple.
 
La lecture s'avère, elle, être un loisir très bénéfique, en raison du vocabulaire très riche qu'elle propose. On y dénombre 1.000 mots différents par livre en moyenne, contre 598 dans une émission de téléréalité. Et l'étude de préciser qu'un "élève moyen qui lit beaucoup aurait une note de 14 sur 20" là où "un élève qui est plus accro à la téléréalité aurait 8,4 sur 20".
 
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C'est vrai que lorsqu'on passe en revue quelques unes des phrases cultes de la téléréalité, ça pique les yeux : "Je n'ai pas d'ordre à recevoir de personne", "je t'emmerde avec un grand A" ou encore "la nuit porte sommeil". Ah tiens, ça nous donne une idée pour une autre étude : est-ce qu'avoir de mauvais résultats scolaires aide à faire de la téléréalité ? "

1 Reactie

  1. Ik heb niet het rapport van

    Ik heb niet het rapport van Lieury  en Lorant cum suis gelezen maar het berichtje van Matthieu MondoloniImprimer vind ik maar matig overtuigend. Ik wil best geloven dat  adolescenten die veel naar populaire TV-programmata kijken het minder goed op school doen dan die die echte literatuur lezen. Maar in vergelijking met die die pulp lezen? Goed, het lijkt te gaan om het dubbele aantal woorden dat je in echt literaire boeken tegenkomt in vergelijking met populaire TV-programmata. Zou de primaire oorzaak niet het verschil in belangstelling kunnen zijn? Of verschil in intelligentie? Dat te veel TV kijken kan daar een gevolg van zijn en daaruit volgt dan, misschien omdat door de TV-verslaafden geen literaire boeken gelezen worden, het verschil in woordenschat. TV-verslaafden hebben voor hun vrije tijd minder woorden nodig en zijn mogelijk in de kennis van meer woorden niet intrinsiek gemotiveerd. Dat lage cijfer voor wiskunde toont mogelijk ook aan dat TV-verslaafden minder intelligent zijn dan in litteratuur geïnteresseerden. Als de wiskunde die zij krijgen ten minste echt is en geen kletspraat zoals dat grotendeels in Nederland het geval is.

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